Comme je l’ai indiqué en commission des affaires économiques, je suis très réservé à l’idée d’intégrer des représentants des cultes dans le Comité national comme dans les comités locaux, pour une raison très simple : attaché à la distinction entre le pouvoir spirituel et le pouvoir temporel, je pense qu’il convient de laisser les cultes à la place où ils méritent d’être et qu’il y a d’autres moyens de les associer, en dehors des comités – lesquels doivent effectivement être mis en place.