Il sera très difficile à une représentation nationale dominée par une autre majorité que celle d'aujourd'hui de revenir en arrière : nous n'allons pas, du jour au lendemain, démarier les couples ou reprendre à des parents d'enfants adoptés leur titre de parents. Je le répète, nous vivons des heures graves, qui ne seront pas sans conséquences pour l'avenir. Il n'est pas trop tard pour prendre les dispositions qui s'imposent, mes chers collègues – en réexaminant, pourquoi pas, ce texte après davantage de débats.