Non, cette coutume n'existe pas, monsieur Aubert. Quand vous serez président de l'Assemblée nationale, peut-être instaurerez-vous des coutumes privant de la parole un certain nombre de nos collègues et ne donnant la parole qu'au premier signataire des amendements. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.) En revanche, il est actuellement de coutume de permettre à une multitude de collègues de s'exprimer sur des sujets qui nous occupent tous.
Vous avez la parole parce que je vous la donne, monsieur Aubert.