Avis défavorable.
Étant un ancien parlementaire, je partage l'avis de M. Sauvadet : la deuxième lecture comme la lecture définitive sont l'occasion d'approfondir le débat – même si je n'ai pas entendu de nouvel argument dans le pilonnage du texte auquel vous venez de vous livrer, monsieur Sauvadet ; c'est votre droit.
Pis, pour moi qui suis un homme d'ordre, vous en avez même appelé à la sédition de la majorité ! Elle aura l'occasion de vous répondre ! (Sourires.)