Je n'arrête pas de donner des bons signes ! (Sourires.)
Mettons-nous d'accord : la question n'est pas du domaine de la loi. C'est incontestablement du domaine réglementaire, peut-être même de la circulaire, sachant que ce ne sera pas sans poser beaucoup de problèmes. Je pense au bureau des élections et des études politiques – et surtout à sa partie masculine, puisque j'ai été mis en cause sur ce point tout à l'heure ! (Sourires.)
C'est à l'État, à son réseau de préfectures et de sous-préfectures, d'assumer cette responsabilité car il y aura, sinon des milliers et des milliers de candidatures, du moins un nombre significatif. Le problème sera traité ; j'en prends l'engagement, à condition toutefois de trouver la bonne solution. Pour cela, je compte sur vous.