En pratique, les complémentaires seront accessibles au bout de six mois, alors que les stages sont d'une durée maximale de six mois. On peut voter cette disposition, mais en réalité, la seule qui sera opérationnelle, c'est celle que mettra en oeuvre la ministre des affaires sociales avec la réforme qui permettra d'améliorer la couverture complémentaire des étudiants. Ne donnons pas d'illusions à ceux qui nous écoutent : concrètement, cela ne leur permettra pas d'accéder à des mutuelles.
Maintenant que vous avez entendu nos explications, je vous invite à retirer votre amendement, monsieur Cavard – c'est, à mon avis, la solution la plus sage. À défaut, je maintiendrai mon avis défavorable.