Cet amendement rejoint une préoccupation que j'ai exprimée tout à l'heure dans le cadre de mon intervention sur l'article 1er. Il s'agit, dans le respect du dialogue social, de laisser le choix de l'assureur de complémentaire santé au niveau de chaque entreprise – si tant est qu'il y ait encore, dans cinq ans, assez d'instituts de prévoyance sur le marché pour permettre un choix.