Je comprends l'appétit, et pour une raison simple : l'appétit vient en mangeant, et là on commence à manger… Je comprends donc que vous ayez plus d'appétit, madame Carrey-Conte, mais commençons déjà par digérer cette grande réforme avant d'aller plus loin, sans qu'il soit besoin de rappeler l'équilibre de l'accord que je demande bien sûr à chacun de respecter. Mais, je le répète, je comprends tout à fait cette impatience, cet appétit, mais attendons pour le satisfaire complètement le temps du sublime.