Mes chers collègues, je vois que toutes les mains se lèvent. Je crains que vous ne le regrettiez vers quatre ou cinq heures du matin. Je donne donc une minute à M. Larrivé, s'il en convient, et une minute à Mme Fraysse, et nous en resterons là.
La parole est à M. Guillaume Larrivé.