Quand on donne ce type de leçons à l'Assemblée nationale, on assume ses positions ! Or pour la deuxième fois, voilà que vous vous en remettez à la sagesse de l'Assemblée, incapable de dire si vous êtes pour ou contre. En fait, vous êtes bien embêté : quand on lit les comptes rendus des débats au Sénat et en commission à l'Assemblée nationale, et qu'on les compare à vos propos aujourd'hui en séance, on se rend compte qu'il ne s'agit plus d'un grand écart, mais d'un grand équilibrisme !
Pour que ce débat continue dans la sérénité que nous connaissons depuis ce matin, personne ne devrait donner de leçons aux autres.