Ce texte nous pose un vrai problème : il exprime la peur que nous avons de voir le peuple participer aux décisions. Un jour, vous le verrez, vous socialistes, ce peuple dont vous devriez être les premiers à dire qu'il a sa place ici, qu'il a le droit de s'exprimer directement, vous donnera la leçon que vous méritez. Ce peuple que vous méprisez n'acceptera pas éternellement que vous le foutiez dehors.