Nous avons une approche un peu plus mitigée, parce qu'il y a eu des moments de notre histoire où le référendum a permis que se reconstituent les bases de la nation, alors que nous étions dans des situations tragiques ou difficiles. Sur l'indépendance de l'Algérie ou sur les accords d'Évian, je ne suis pas sûr qu'un simple vote de la représentation nationale aurait suffi pour tourner la page, après des circonstances aussi dramatiques.