Je sais que vous souffrez beaucoup, et je vous remercie de saluer l'orateur comme vous le faites, cher collègue.
Mes chers collègues, les scrutins publics, mais aussi vos propos, madame la ministre, sont insultants ; ce n'est pas vous qui êtes insultante, ce sont vos propos – je fais bien la distinction – pour toutes ces familles qui sont venues à ma permanence, et qui se rendent à la permanence de chacun d'entre nous. Ce n'est pas politique, ce n'est pas une question de droite ou de gauche.