Madame Coutelle, je ne vous ai pas interrompue ; permettez-moi de conclure.
L'unanimisme que vous avez souligné, monsieur Geoffroy, sera rompu au moment du débat, car je n'entends pas suivre cette pente qui consiste à criminaliser cette activité. C'est d'aide, de droits, de soutien qu'ont besoin les personnes prostituées, non d'une chasse policière de tous les instants.