Cet amendement est évidemment la suite logique de nos amendements de suppression des articles 1er et 2.
Mais j'en profite pour répondre à M. Goldberg – ce que j'avais souhaité faire après son intervention, mais j'ai peut-être levé la main un peu tardivement, monsieur le président. M. Goldberg a pris à partie les membres du groupe UMP qui ont défendu l'amendement de suppression de l'article 2, en leur reprochant de refuser que les terrains des établissements publics soient mobilisés. Mais non, c'est le contraire ! Nous disons qu'il faut les mobiliser, mais il faut les mobiliser vraiment, c'est-à-dire dans les bonnes conditions.