Monsieur Fenech, je ne doute pas de votre intention. Il paraît toujours embarrassant de dire non à une proposition concernant des victimes.
Je rappelle tout de même que, lorsque j'ai réuni le Conseil national de l'aide aux victimes il y a environ deux mois, cette institution n'avait pas été réunie depuis deux ans. Sous la précédente législature, nous avons entendu parler sans arrêt de l'attention à porter aux victimes, alors que le budget qui leur était consacré avait diminué.