Les radicaux s'opposent également à cet amendement, pour une raison toute simple : les dispositions relatives aux logiciels libres doivent faire l'objet d'une continuité entre la loi relative à l'enseignement supérieur et à la recherche et la loi portant refondation de l'école de la République. Dans la loi relative à l'enseignement supérieur et à la recherche, il me semble que nous avons donné une priorité aux logiciels libres. Dans une logique de continuité, il ne serait pas anormal que l'on fît de même pour l'éducation nationale.