Défavorable. Nous pensons, au contraire, qu'il est temps d'ouvrir un chantier déontologique en la matière. Le fait que les parlementaires puissent déclarer le nom de leurs collaborateurs ne nous paraît pas attentatoire à leur vie privée, mais, au contraire, tout à fait utile. À l'Assemblée nationale, ce sont, à ma connaissance, 2 400 personnes qui, en quelque sorte, n'existent pas. Il est temps de les sortir de l'ombre et de reconnaître leur travail. Donc, la responsabilité de l'employeur doit être connue.