Je souhaite répondre à Guy Geoffroy. Nous sommes sur le projet de loi ordinaire. Durant la discussion du projet de loi organique, j'ai souvent refusé des amendements au nom précisément de l'autonomie des chambres et de leur liberté : c'est ce qui explique aussi qu'il n'y ait pas de pouvoir d'injonction de la Haute Autorité sur les parlementaires. Je crois avoir, par ce refus et par mes propres amendements, préservé la liberté des parlementaires.