Restons modestes : je vais essayer…
Vous avez évoqué, monsieur Fasquelle, la nécessité d'organiser un débat dépassant les clivages politiques, la liberté de vote, inhérente aux députés, les divergences qui peuvent naître au sein de la majorité, ce qui est bien normal. Essayons pour une fois de le dire, comme je l'ai fait dès le début de mon propos introductif : il n'y a pas d'un côté, ceux qui seraient à dénoncer, de l'autre ceux qui seraient vertueux, que ce soit parmi les députés de terrain, comme l'a dit M. Poisson, ou parmi ceux qui ne cumuleraient pas. Ne soyons pas dans une posture accusatrice. Je comprends ceux de nos collègues qui, depuis longtemps, sont maires de leur commune et redoutent la perspective de choisir. Je comprends ceux pour qui c'est difficile.