Je trouve inadmissible qu'on en arrive à utiliser de tels mots pour parler d'un sujet qui nous concerne tous. Faisons preuve d'un peu de bon sens, monsieur Dhuicq. Sachons garder la tête froide et rappelons-nous que le verbe peut être utilisé à bon ou mauvais escient.
Alors, oublions les « tricoteuses ». Au passage, je souligne que le mot a été employé au féminin.