Et ce n'est pas le premier !
S'agissant de la fonction de président de l'assemblée territoriale des îles Wallis et Futuna, quand on connaît le nombre d'élus nécessaires – vingt et un, de mémoire –, cette interdiction me paraît excessive.
Les campagnes électorales à Wallis et Futuna sont un peu particulières parce que liées à certaines traditions, aux deux îles, aux trois rois. Il me paraît regrettable d'éliminer deux personnes – sur un personnel politique très restreint – de la vie politique locale et de la capacité à exercer des responsabilités locales de député et de sénateur.
Quand on sait que l'on parle d'un territoire à la fois éloigné de la France et très réduit en nombre d'élus, cela me paraît déplacé et contre-productif. J'avais souhaité le dire à l'Assemblée nationale et je pense que vous le verrez dans quelque temps, malheureusement.