Ce n'est pas du tout une critique : je partage avec eux cette situation monstrueuse. Beaucoup d'entre eux ont plus de trois mandats, soit comme président de l'Assemblée nationale, soit comme président de groupe, soit comme Premier ministre, soit comme deuxième ministre dans l'équipe actuelle… J'abrège pour n'être pas trop long, mais c'est la situation dominante au sein du Gouvernement.
J'ajouterai un tout dernier élément. Si l'on imagine qu'à la suite de circonstances électorales un peu agitées et d'alternances successives, trois dissolutions aient lieu, le parlementaire se bornerait à passer trois ans à l'Assemblée nationale.