J'appelle à la même cohérence celles et ceux qui pensent que l'on peut rester indéfiniment parlementaire. Je crois qu'il est sain, dans une démocratie, de fixer une limite, comme il en existe pour le Président de la République, et comme nous sommes parvenus à la fixer – à trois mandats – pour les élus des Français de l'étranger, dans le projet de loi réformant la représentation des Français de l'étranger.