Quelques mots pour présenter cet amendement, qui tend à la suppression de l'article 3 du projet de loi organique. La proposition de renforcement des cas dans lesquels on s'abstiendrait d'organiser des élections partielles n'a en effet pas lieu d'être.
La législation actuelle est suffisante à nos yeux, et l'élection partielle ne doit pas être considérée comme une gêne ou un obstacle : elle constitue au contraire une respiration démocratique légitime et nécessaire, qui doit demeurer pour les cas non prévus dans le code actuel.