Il s'agit, dans l'hypothèse où un parlementaire continue d'exercer une activité professionnelle réelle mais réduite, du reste compréhensible et même souhaitable, de limiter sa rémunération globale à 150 % du montant de son indemnité de député ou de sénateur. Cet amendement avait été examiné et je l'avais voté au cours de l'examen du texte sur la transparence.