À l'appui de mon amendement de suppression de l'article 1er, il revient de nombreuses associations et organisations syndicales l'absence de concertation véritable. Si informations et échanges ont eu lieu à partir de la proposition de loi, il n'y a pas eu, en amont, de véritable négociation, concertation, un vrai débat. C'est un problème.
Si le débat en amont avait eu lieu, nous ne connaîtrions pas les réactions qui s'expriment aujourd'hui, qui ont de multiples origines.