Je regrette tout d’abord que l’amendement que nous avions déposé sur cet article ait été repoussé au titre de l’article 40. C’est incompréhensible.
Notre volonté est de voir les intercommunalités se maintenir dans tous les départements d’Île-de-France, y compris ceux de la petite couronne : Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne. Nous souhaitons également que leur fonctionnement se fonde sur l’intérêt mutuel, dans la complémentarité au service de projets partagés, y compris dans le cadre de coopératives de villes telles que celles qui ont été proposées de manière collégiale par les élus locaux de sensibilités diverses réunis au sein du syndicat mixte d’études Paris Métropole.
Avec les coopératives de villes, il s’agit donc de faire vivre le développement polycentrique de la métropole francilienne sur un mode coopératif, donc non contraint et non centralisateur, ce qui est à l’opposé de la philosophie qui, malheureusement, sous-tend ce texte et cet article en particulier.