Défavorable, car la déclaration préalable n’apporte pas de réelle plus-value. Je rappelle que les préfectures sont tenues de délivrer un récépissé lorsque le dossier est complet, ce qui est le cas pour la quasi-totalité des déclarations reçues, au demeurant peu nombreuses – seulement 500 à 600 par an. Les entrepreneurs concernés resteront d’ailleurs soumis aux mêmes formalités que les entrepreneurs français, à savoir l’inscription au registre du commerce et des sociétés et au répertoire des métiers.