Permettez-moi également, monsieur de Courson, de rappeler qu’il ne faut jamais sous-estimer le rôle du Parlement. Vous en savez quelque chose puisque vous-même avez beaucoup influencé la précédente majorité, obtenant par amendement dans la loi de finances la suppression de la demi-part des veuves, dont vous êtes un auteur historique, reconnu, et dont on ne remercie pas assez l’action.