Vous avez donc raison, monsieur de Courson, vous n’aviez pas vu cela mais beaucoup mieux encore, et vous y aviez ardemment et totalement participé. C’est une démonstration supplémentaire que la pseudo-rigueur que vous convoquez à chacune de vos interventions est tout de même un extraordinaire paravent à votre totale mauvaise foi.
Sur le fond, qu’avons-nous voulu faire avec cette mesure, et pourquoi acceptons-nous qu’au cours de la discussion parlementaire la majorité puisse, sur des dispositions présentées dans la loi de finances, engager avec nous le débat et le conduire dans une relation de confiance ?