Nos territoires veulent être reconnus, les citoyens qui y résident ne sont pas des citoyens de deuxième, voire de troisième ou de quatrième zone. Ils veulent qu'on prenne en compte leur situation réelle et que s'installent là aussi une fiscalité équitable et une péréquation digne de ce nom. Ce n'est pas pour cette fois, mais pour les budgets à venir, je l'espère.