Je remercie tous les orateurs qui, à l’occasion de l’examen de l’article 10, viennent de s’exprimer sur la fiscalité des entreprises. J’aimerais préciser, en quelques mots, la manière dont nous avons travaillé. D’abord, je regrette beaucoup que, sur des questions de cette nature, certains privilégient la polémique et l’emploi de mots parfois blessants à la nécessité d’oeuvrer ensemble au service de l’intérêt général. Je déplore d’avoir entendu des expressions telles que « réforme improvisée » ou « manque de concertation », absolument infondées, car les choses ne se sont pas du tout passées de cette manière.