J'ai constaté que ce qu'il aurait pu souhaiter – je parle au conditionnel pour ne pas donner l'impression de m'exprimer à sa place –, c'est-à-dire la fiscalisation des allocations familiales, a été applaudi par quelques-uns sur vos bancs, ce qui prouve qu'à l'occasion de ce débat, les arguments des uns et des autres sont entendus. Pour ma part, je m'en réjouis.
Il m'a semblé, monsieur Aubert, que le lien que vous avez établi entre le financement du quotient familial et la branche famille était abusif.