Le seul critère à retenir est donc celui du rythme d’exécution des peines. Or, la diminution des crédits d’intervention risque de provoquer le ralentissement de ce rythme, alors même qu’il n’était déjà pas satisfaisant en 2012 puisqu’à la fin de cette année-là, le nombre de peines à exécuter s’élevait à 99 600, contre 99 200 à la fin 2011 et 92 800 à la fin 2010. En clair, le rythme se dégrade.