Je redirai ce que j’ai dit en commission. Les variables d’ajustement, il ne faut pas se leurrer, ont vocation à tendre vers zéro, et ce, malheureusement, de plus en plus rapidement. On pensait il y a quelques années que leur mort se situerait autour de 2020, mais le calendrier s’accélère. C’est pourquoi je pense qu’il convient de sauvegarder cette compensation, toute petite par rapport aux autres. Je plaide donc à nouveau, comme je l’ai fait en commission des finances, pour le maintien ces 263 000 euros. D’ailleurs, personne ne sait qu’il y a cette compensation dans les variables d’ajustement, sauf nous ici.