M. Saddier a bien rappelé qu’il y a eu un flou en commission des affaires économiques et que le Gouvernement, sentant que ce n’était clair dans l’esprit de personne, a préféré reporter la discussion. Je pense qu’il a eu raison.
Monsieur le ministre, la meilleure défense, c’est l’attaque. Vous laissez entendre que nous ne sommes pas cohérents.
Je parlais de l’UMP et des communistes.
Moi, je me cantonne à votre discours du 3 octobre. C’était il y a un peu plus d’un mois, et vous ne m’avez toujours pas expliqué pourquoi vous aviez radicalement changé. Votre discours du 3 octobre était parfait, très clair, et il avait le mérite, pour les parlementaires que nous sommes, de dessiner la feuille de route qui est la vôtre. Je ne remets pas en cause votre discours du 3 octobre que, sauf erreur de ma part, vous avez prononcé devant l’ensemble des acteurs de la politique de la ville.
C’était devant les préfets.