Ce système brasse 40 milliards de dollars chaque année dans le monde. Il enrichit d’abord ceux qui vivent de la traite, du crime et du trafic de drogue. Il n’existerait pas s’il n’y avait pas, à l’autre bout de la chaîne, quelqu’un pour accepter et pour payer.
Pourquoi payer le corps d’une femme ? J’entends les arguments exprimés depuis quelques jours de la façon la plus décomplexée. Ce débat est, d’ailleurs, un moment de révélation pour notre société.