Ce travail a montré clairement le chemin qu’il nous reste à accomplir. La proposition de loi que nous examinons aujourd’hui en découle naturellement. Elle se situe dans une tradition humaniste, un humanisme assumé et responsable qui ne se contente pas, pour reprendre les mots de Gambetta, de reconnaître des égaux, mais veut en faire. Je veux saluer l’implication du groupe socialiste dans ce texte. Merci à Maud Olivier, merci à Catherine Coutelle pour la force de conviction qu’elles ont mises à chaque étape.