Si nous sommes là, c’est parce que certains collègues que je salue – Maud Olivier, Catherine Coutelle, Ségolène Neuville et d’autres – ont mis leurs pas dans les nôtres, les pas de ceux qui avaient décidé de s’unir autour d’une même cause, celle des femmes et des victimes de toutes les violences.
À cet instant, je voudrais saluer Danielle Bousquet qui est présente dans les tribunes et qui reste toujours une collègue dans notre esprit.