Voilà ce qu’a dit Manuel Valls. Il soutient donc pleinement l’abrogation du délit de racolage passif, même s’il a ajouté – je vais en partie dans votre sens, monsieur Goujon – qu’il conditionne « la suppression de ce délit au maintien d’outils de gestion de l’ordre public à disposition des forces de sécurité. »