Il n’y a pas de véritable travail de fond : on évite les bonnes questions, pour juxtaposer des mesures qualifiées d’ambitieuses, quand bien même elles ne sont que le reflet, parfois trop servile, d’une politique clientéliste. Il en est ainsi de la création d’un statut d’amorçage applicable aux sociétés coopératives et participatives, qui va de pair avec cette proposition de loi absurde relative à la reprise de sites. On revient à cette vielle lune du parti socialiste : les coopératives. Idée fulgurante, s’il en fut, et pourtant la majorité ces sociétés ont été vouées à un destin funeste.