Intervention de Charles de Courson

Séance en hémicycle du 3 décembre 2013 à 15h00
Projet de loi de finances rectificative pour 2013 — Motion de renvoi en commission

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaCharles de Courson :

J’en viens, et c’est mon dernier point – fondamental – aux cotisations sociales. Pourquoi augmentent-elles beaucoup moins vite qu’un PIB qui est pourtant quasiment stagnant en volume ?

Avez-vous observé, mes chers collègues, le partage de la valeur ajoutée et son évolution sur les trois dernières années ? Jamais les marges des entreprises n’ont été aussi faibles. Pour que le produit augmente, il faut faire croître de nouveau la part des bénéfices dans la valeur ajoutée.

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