Quand nous sommes arrivés au pouvoir, les déficits structurels se baladaient autour de 4 %, alors que l’ensemble de la zone euro avait fait des efforts d’ajustements tout à fait significatifs ! Un ancien Premier ministre déclarait en 2008 – et il l’a encore répété ce matin – que le pays était en situation de faillite, et il laissait, quatre ans plus tard, 600 milliards d’euros de dette publique en plus…