Ma deuxième observation, c’est que l’on voit bien à travers cet amendement la complexité du sujet. Le Gouvernement a déposé depuis hier plus de quarante amendements que nous n’avons pas du tout vus en commission, ce qui explique la réponse interrogative, si je puis dire, du rapporteur général. Il y avait hier une vingtaine d’amendements de crédit qui ne portaient pas à conséquence – et je ne l’ai pas relevé –, mais là, nous allons aborder toute une série d’amendements du Gouvernement qui sont assez lourds et complexes. Je regrette donc que l’on n’ait pas pu du tout les voir en commission des finances, monsieur le ministre.