Monsieur le rapporteur général, le Premier ministre nous annonce l’autre jour une remise à plat de la fiscalité, et ce après nous avoir expliqué que c’était l’heure de la « pause fiscale », et on sait ce qu’il en est advenu : la pause fiscale est derrière nous. Mais lorsque nous avons eu l’idée de placer la TVA au taux de 21,2 %, je me souviens très bien, monsieur le rapporteur général, qu’on entendait sur les bancs socialistes : « Si on augmente la TVA, d’un, de deux ou de trois points, ce sera le pouvoir d’achat des Français qui baissera directement. » Maintenant, plus un mot : vous faites passer le taux intermédiaire de 7 % à 10 %, impactant ainsi directement le pouvoir d’achat, mais vous et vos collègues êtes devenus silencieux.
Et puis, monsieur le rapporteur général, sur votre blog, que je lis attentivement,…