Nous ne méconnaissons pas non plus l'intérêt de la pratique régulière du vélo, notamment pour la prévention de l'obésité et du diabète, et pas davantage l'intérêt utilitaire du transport en vélo lorsque les particules fines nous assaillent.
La commission a néanmoins repoussé ces amendements, parce qu'elle pense que cela doit s'intégrer dans un autre type de politique, davantage centrée sur la transition écologique et faisant appel à la fiscalité de l'État plutôt qu'aux recettes de la Sécurité sociale.