Je voudrais prolonger cette discussion parce que l’on voit bien, effectivement, qu’il y a une volonté de réduire la part du hors quota, comme s’il posait fondamentalement un problème.
Ce hors quota est bien affecté quelque part et, en l’occurrence, il l’est de manière libre par les entreprises. Cette liberté repose sur le fait que les entreprises, mieux que quiconque, sont en mesure, à un moment donné, d’indiquer avec qui elles souhaitent développer des partenariats en matière de formation secondaire ou supérieure de qualité.
D’ailleurs, je suis surpris d’entendre dire qu’enseignement supérieur et apprentissage ne rimeraient pas ensemble. Je trouve cette argumentation assez surprenante.
Je crois que ce qui fait, précisément, la richesse de l’enseignement professionnel c’est que cela aille du niveau V au niveau I et que l’enseignement supérieur ait aussi développé l’apprentissage. Vouloir stigmatiser le recours à des dispositifs d’apprentissage dans l’enseignement supérieur me paraît assez discutable.