Je conclus. Je serai bref. S’exprimer pour un journaliste, c’est travailler. Or la liberté de travailler concerne aussi tous les Français. C’est l’égalité entre tous. J’en appelle, madame la ministre, à votre esprit de fraternité ! « Liberté, égalité, fraternité » ! Tout le monde doit avoir le droit de travailler, pas seulement les journalistes. La liberté de la presse n’exonère pas le directeur de gérer correctement son journal.