Donc M. Lamblin a raison, mais nous voulons garder des exploitations agricoles avec des chefs d’exploitation à leur tête, c’est-à-dire des agriculteurs, des paysans et des éleveurs, et je sais que vous le souhaitez aussi. Pour le faire et avoir une garantie juridique, aujourd’hui, on doit s’appuyer sur le GAEC. Et nous devons corriger une inégalité car pendant un temps, seul le statut de l’EARL permettait le travail conjoint d’un homme et d’une femme, et nous devons donner la possibilité à ceux qui le souhaitent de passer du statut de l’EARL au statut de GAEC. Une fois que la transparence des GAEC sera actée, cela fera l’objet des négociations au niveau de la Commission européenne afin que cette transformation soit possible, car elle nous semble tout à fait logique.